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Grundsatzüberlegungen zur verdeckten Gewinnausschüttung: Definition, Tatbestandsmerkmale und Korrekturmassstab

Zugleich ein Beitrag zur rechtsdogmatischen Einordnung des Fremdvergleichs

Patrick Engstler M.A. HSG

Florian Regli Dr. iur. HSG et lic. oec. HSG, dipl. Steuerexperte


Teil der Ausgabe


Zusammenfassung (d/f)

Die Einbettung der Verrechnungspreisproblematik indie innerstaatlichen Rechtsgrundlagen, vor allem in die verdeckte Gewinnausschüttung, ist besonders wichtig. Allerdings bestehen mehrere Problembereiche: Neben dem Fehlen einer gefestigten Definition und der Unklarheit über Inhalt und Verhältnis der Tatbestandsmerkmale ist unsicher, welche Rolle der Fremdvergleich genau spielt. Diese Problembereiche sollen mit der Herausarbeitung der Grundlagen und Systematik der verdeckten Gewinnausschüttung durchschaubarer werden. Hierfür werden ihre rechtsdogmatische Fundierung und Grundsatzfragen behandelt, nämlich ihre Definition, ihre Tatbestandsmerkmale und die Frage des zugrundeliegenden Korrekturmassstabs. Auf dieser Grundlage lässt sich die Systematik der verdeckten Gewinnausschüttung dahingehend präzisieren, dass zwischen der durch das Beteiligungsverhältnis veranlassten Vermögensminderung als Tatbestand der verdeckten Gewinnausschüttung und der Ermittlung des Korrekturbetrags als deren Rechtsfolge unterschieden wird. Darin zeigt sich die Doppelfunktion des Fremdvergleichs, der sich sowohl auf den Grund als auch auf die Höhe der Vermögensminderung bezieht. Hierüber wird eine scharnierähnliche Verbindung zwischen der verdeckten Gewinnausschüttung als Rechtsfolge und der zwischenstaatlichen Abgrenzungsnorm geschaffen. Dabei leisten die OECD-Verrechnungspreisleitlinien die ihnen zugesprochene Hilfestellung bei der Anwendung des Fremdvergleichs zur Schätzung der verdeckten Gewinnausschüttung der Höhe nach. Insoweit besteht keine Notwendigkeit, eine dem Art. 9 Abs. 1 OECD-MA nachgebildete Norm in das unilaterale Steuerrecht zu überführen.

Il est particulièrement important d’intégrer la problématiquedes prix de transfert dans le droit interne, notamment en ce qui concerne les distributions dissimulées de bénéfices. Il existe toutefois plusieurs problématiques: Outre l’absence d’une définition consolidée et le manque de clarté quant au contenu et à la relation entre ses éléments constitutifs, le rôle exact du principe de pleine concurrence demeure peu clair. Un travail sur les fondements et la systématique de la distribution dissimulée de bénéfices doit permettre de mieux cerner ces problématiques. Pour ce faire, nous traiterons de son fondement juridique et doctrinal et des questions de principe, à savoir sa définition, ses éléments constitutifs et la question du critère de correction sous-jacent. Sur cette base, la systématique de la distribution dissimulée de bénéfices peut être précisée en ce sens qu’une distinction est faite entre la diminution du patrimoine causée par la relation de participation en tant qu’élément constitutif de la distribution dissimulée de bénéfices et la détermination du montant de la correction en tant que conséquence juridique de cette distribution. Cela montre la double fonction du principe de pleine concurrence, qui se rapporte aussi bien à la cause qu’au montant de la diminution du patrimoine. Cela permet decréer un lien semblable à une charnière entre la distribution dissimulée de bénéfices en tant que conséquence juridique et la norme de délimitation interétatique. A cet égard, les principes de l’OCDE applicables en matière de prix de transfert apportent leur aide dans l’application du principe de pleine concurrence pour l’estimation du montant de la distribution dissimulée debénéfices. Il n’est donc pas nécessaire de transposer dans le droit fiscal unilatéral une norme calquée sur l’article 9, paragraphe 1, du modèle de l’OCDE.