Search
Generic filters
Exact matches only
Filter by content type
Users
Attachments

Die Anpassung des Kapitaleinlageprinzips im Rahmen der STAF

Überblick und Diskussion

Dr. oec. publ. Remo Küttel dipl. Steuerexperte


Teil der Ausgabe


Zusammenfassung (de/fr)

Mit der STAF hat das Schweizer Parlament beschlossen, die Bestimmungen des Kapitaleinlageprinzips für an schweizerischen Börsen kotierte Gesellschaften anzupassen. Konkret sollen mit der Einführung einer Rückzahlungsregel die Substitution von steuerbaren Dividenden durch steuerfreie Rückzahlung von Kapitaleinlagereserven eingeschränkt und mit einer Teilliquidationsregel Kapitalherabsetzungen über die zweite Handelslinie steuerlich weniger attraktiv gemacht werden. Es handelt sich bei dieser Anpassung nicht um eine steuersystematisch notwendige, sondern vielmehr um eine politisch und fiskalisch motivierte Korrektur. Der Autor gibt einen Überblick über die neuen Bestimmungen und diskutiert diese im Kontext deren Entstehung.  Avec la RFFA, le Parlement suisse a décidé de modifier les dispositions du principe de l’apport en capital pour les sociétés cotées aux bourses suisses. Concrètement, l’introduction d’une règle de remboursement vise à limiter la substitution de dividendes imposables par le remboursement exonéré d’impôt des réserves d’apport de capital et, grâce à une règle de liquidation partielle, rendre les réductions de capital au moyen de la deuxième ligne de négoce moins attractives sur le plan fiscal. Cet ajustement n’est pas nécessité par la systématique fiscale mais constitue plutôt une correction motivée par des raisons politiques et fiscales. L’auteur donne un aperçu des nouvelles dispositions et les examine dans le contexte de leur genèse. Nicht steuerneutrale Spaltungen Verweigern die Steuerbehörden einer Spaltung die Qualifikation als steuerneutrale Spaltung, so hat dies zahlreiche Steuerfolgen. Dies kann auch dann der Fall sein, wenn eine ursprünglich steuerneutrale Spaltung diese Qualifikation wieder verliert, weil entweder die abspaltende oder abgespaltene Gesellschaft den Betrieb nicht weiterführt. Während bei einer steuerneutralen Spaltung die zivilrechtliche Vorgehensweise unbeachtlich ist und für die steuerliche Beurteilung bloss auf das wirtschaftliche Endergebnis abgestellt wird, müssen bei nicht steuerneutralen Spaltungen sämtliche Schritte einzeln steuerrechtlich qualifiziert werden. Solange die Spaltung ihre Steuerneutralität behält, sind ein- und zweistufige Spaltungen steuerlich gleich zu behandeln. Anders verhält es sich aber, wenn die Tatbestandsvoraussetzungen der Umstrukturierung nicht (mehr) erfüllt sind. Die im Kreisschreiben Nr. 5 der ESTV vom 1.6.2004 dargestellten Grundsätze zu nicht steuerneutralen Spaltungen beziehen sich bloss auf einstufige Spaltungen. Die in der Praxis deutlich wichtigeren nicht steuerneutralen zweistufigen Spaltungen werden dagegen im Kreisschreiben Nr. 5 nicht behandelt.

Si l’administration fiscale refuse de considérer une scission comme une scission fiscalement neutre, les conséquences fiscales sont nombreuses. Cela peut également être le cas si une scission fiscalement neutre à l’origine perd cette qualification parce que la société scindée ou dont une partie est scindée ne poursuit pas l’exploitation. Alors qu’en cas de scission fiscalement neutre, la procédure civile n’est pas pertinente et le droit fiscal se base uniquement sur le résultat économique final, dans le cas de scissions non neutres fiscalement, chaque étape doit être qualifiée individuellement du point de vue du droit fiscal. Tant que la scission conserve sa neutralité fiscale, les scissions en une étape et en deux étapes doivent être traitées de manière identique sur le plan fiscal. La situation est toutefois différente si les conditions de la restructuration ne sont (plus) réunies. Les principes relatifs aux scissions fiscalement non neutres énoncés dans la circulaire n°5 de l’AFC du 1er juin 2004 ne concernent que les scissions en une étape. En revanche, les scissions en deux étapes fiscalement non neutres, bien plus importantes en pratique, ne sont pas traitées dans la circulaire n°5.