Search
Generic filters
Exact matches only
Filter by content type
Users
Attachments

Fallstudien zur Steuerplanung 2015 zwischen Frankreich und dem deutschen Sprachraum

Prof. Dr. Rainer Zielke


Teil der Ausgabe


Zusammenfassung (de/fr)

Internationale Steuerplanung zwischen Frankreich und dem angrenzenden deutschen Sprachraum am Beispiel von Deutschland, Österreich, der Schweiz und Liechtenstein auf der Basis grenzüberschreitender Fallstudien ist von zentraler Bedeutung. Denn Frankreich hat den kombinierten Körperschaftsteuersatz in den vergangenen Jahren kontinuierlich angehoben – von ursprünglich 34,4 % im Jahre 2011, als er noch ausschüttungsneutral war, bis auf 40 % ab dem 1. Januar 2014 im Falle ausgeschütteter Gewinne. Laut OECD ist das wirtschaftliche Wachstum in Frankreich schwach und Frankreich braucht mehr ambitionierte Strukturreformen. Die OECD empfielt eine Reduzierung der Staatsausgaben, um die Steuern herabzusetzen, das Funktionieren des Arbeitsmarktes sowie Qualifikationen zu verbessern und den Wettbewerb zu erhöhen. Ab 2014 ist das Bruttosozialprodukt Frankreichs niedriger als das des Vereinigten Königreichs und Frankreich hat heute laut International Monetory Fund mit 2 846 889 Mio. US$ nur noch das dritthöchste Bruttosozialprodukt Europas. Der kombinierte Körperschaftsteuersatz Frankreichs setzt sich zusammen aus dem gesetzlichen Körperschaftsteuersatz von 33,3 % auf das Einkommen, einem Sozialzuschlag von 14 % auf die Körperschaftsteuer, sofern die Gesellschaft mehr als € 7 630 000 Umsatz erwirtschaftet, und einem Zuschlag von 3,3 % im Falle der Gewinnausschüttung. Zählt man – aufgrund des klassischen Körperschaftsteuersystems – die Einkommensteuerbelastung natürlicher Personen als Anteilseigner hinzu, ist Frankreich ohne jeden Zweifel ein Hochsteuerland. Frankreich hat zahlreiche steuerliche Missbrauchsbekämpfungsvorschriften eingeführt, um die Erosion der Steuerbemessungsgrundlage und Gewinnverlagerungen zu vermeiden.

La planification fiscale internationale sur la base d’études de cas à caractère transnational entre la France et les territoires germanophones avoisinants tels que l’Allemagne, l’Autriche, la Suisse et le Liechtenstein revêt une importance particulière. La France a en effet relevé continuellement le taux combiné de l’impôt sur les sociétés au cours des dernières années de 34,4 % en 2011, alors qu’il était encore indépendant de toute distribution, jusqu’à 40 % à compter du 1er janvier 2014 en cas de distribution de bénéfices. Selon l’OCDE, la croissance économique en France est faible et la France a besoin de davantage de réformes structurelles ambitieuses. L’OCDE recommande une réduction des dépenses publiques, de manière à pouvoir baisser les impôts, améliorer le fonctionnement du marché du travail, améliorer les qualifications et accroître la concurrence. A partir de 2014, le produit national brut de la France est plus bas que celui du Royaume Uni et la France ne possède aujourd’hui avec 2 846 889 mio. US $, selon International Monetory Fund, plus que le troisième plus important produit national brut d’Europe. Le taux combiné d’imposition sur les sociétés est composé du taux légal d’imposition sur les sociétés de 33,3 % sur le revenu, une contribution sociale représentant 14 % de l’impôt sur les sociétés, dans la mesure où le chiffre d’affaire excède 7 630 000 € et une contribution de 3,3 % en cas de distribution de bénéfices. Si l’on prend encore en compte – sur la base du système d’imposition classique des sociétés – l’impôt sur le revenu des personnes physiques titulaires de parts, la France compte sans aucun doute parmi les pays à forte fiscalité. La France a adopté de nombreuses normes pour combattre les abus en matière fiscale, afin d’éviter l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices.